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Second écocide à Saint Benoit Du Sault…

… si vous laissez faire.
Après son étang, les alentous bocagers de Saint Benoit du Sault se font grignoter par l’industrie des panneaux chinois.

Et quelles seront les victimes de cette idée lumineuse ? Votre porte monnaie et l’écosystème !

Ces panneaux ne produiront pas l’hiver pour alimenter votre pompe à chaleur, ni la nuit pour vous permettre de lire au lit, ils ne vous permettront pas non plus de faire griller votre baguette au petit déjeuner. Ils produiront trop en été, lorsque vous serez à la plage. L’hiver, vos vont factures grimperont en flèche pour faire fonctionner les usines à gaz. L’été, leur courant ne vaudra absolument rien et augmentront les risques d’incendie dans notre bocage. Pschitt !

Une biodiversité riche y est pourtant en place depuis des décénnies (pariries fleuries, haies bocagères, chiroptères, avifaune, pédofaune etc), 10Ha vont être rasés, comme à La Chatre L’Anglin qui a vu sa foret de chataigniers et chênes remplacés par une foret d’aluminium et de plastiques au nom de leur « écologie ».

Le bon sens aurait été d’aider et de continuer la restauration de cette zone, laissée à l’abandon. La nature pourrait y reprendre ses droits.
Le bon sens aurait été de cantonner le photovoltaïque aux bâtiments commerciaux et agricoles, mais cela ne leur suffit pas…

Les industriels et les politiques, tous avides de subventions, ne voient pas l’environnement comme l’allié précieux qu’il est à l’Homme, mais un ennemi à abattre ou un pretexte pour vous prendre le peu d’argent qui vous reste.

Dites NON à cet #écocide par courriel avant le 5 octobre midi ddt-ep-stbenoit@indre.gouv.fr

Infos ici

https://www.indre.gouv.fr/Publications/Enquetes-Publiques-autre-que-ICPE/Centrale-Photovoltaique-au-sol-ST-BENOIT-Les-Bandes-de-la-Carriere




photovoltaïque = risques d’incendies dans nos campagnes

la preuve par l’exemple, bientôt sur nos terres ?

Pourquoi cette centrale solaire crée des incendies à répétition ?




Photovoltaïque, tellement bon pour la biodiversité !

Article à lire au plus vite et pour action à toutes les enquêtes publiques des installations PV

Ces usines mettent en péril directement la biodiversité, à peine moins que les éoliennes, elles ne font que terminer le bilan global désastreux de ce choix politique aux dépens de la biodiversité.
Car nous tenons à le rappeler, les ENRI ne sont pas des choix industriels, mais POLITIQUES.

Nous le rappelons, quel industriel européen non-subventionné se lancerait dans une usine qui détruise l’environnement et ne produise que 13% de l’année ?

https://www.revolution-energetique.com/pourquoi-les-chauve-souris-detestent-les-panneaux-solaires/
Pourquoi les chauve-souris détestent les panneaux solaires




Se défendre contre un projet photovoltaïque

(nous retranscrivons ci dessous les explications pratiques pour attaquer un projet. Merci à Théodore CATRY sur Facebouc

☀️ SE DÉFENDRE CONTRE UN PROJET PHOTOVOLTAÏQUE (1/3) : comprendre l’essentiel du régime juridique ☀️
Un projet photovoltaïque, comme en éolien ou en méthanisation, implique le dépôt d’un dossier qui est instruit par la préfecture et donne lieu à une décision d’autorisation ou de refus. Juridiquement, il est possible, avec un argumentaire solide, de faire annuler une telle autorisation en saisissant le tribunal administratif et en démontrant devant lui les illégalités qui affectent le projet.
Je vous propose ici quelques explications et réflexes essentiels à adopter lorsqu’un projet photovoltaïque menace votre secteur.
D’abord, il faut s’informer sur la teneur du dossier déposé : c’est cela qui déterminera la conduite des actions à mener. En fonction de la taille du projet, la demande peut constituer une simple déclaration préalable (projets d’une capacité entre 3 kWc et 250 kWc), un dépôt permis de construire (projets de plus de 250 kWc) ou, pour les grands projets (plus d’1 MWc), un dépôt de permis avec étude d’impact, avis de l’autorité environnementale et enquête publique.
Attention :
– en présence d’un secteur protégé (site patrimonial remarquable, abords d’un monument historique, site classé …), les règles changent.
– Pour un projet de moins de 3 kWc, aucune décision administrative n’est nécessaire.
Enfin, en fonction des sensibilités environnementales du secteur, il peut être nécessaire de solliciter d’autres décisions : une dérogation à l’interdiction de destruction d’espèces protégées, une autorisation de défrichement ou encore une validation au titre de la Loi sur l’eau. Ces décisions sont contestables, et il est aussi possible de contester le fait de ne pas les avoir sollicitées. Par exemple, les promoteurs évitent autant que possible d’avoir à déposer une demande de dérogation Espèces protégées car les conditions pour l’obtenir sont très lourdes.
Au prochain épisode : quels arguments soulever pour augmenter les chances de succès de l’action de lutte ? Bon courage à chacun




Photovoltaïque en masse : pourquoi cela ne peut pas fonctionner

Explication de notre ami Eric Van Vaerenbergh exprimé tout simplement sur Internet. Le raisonnement est simple : tous les panneaux fonctionnent en même temps. D’où la saturation du réseau.
Article posté le 07/04/2023
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Le nombre de propriétaires d’installations photovoltaïques (PV) qui se plaignent d’avoir leur onduleur qui se met en sécurité par présence d’une surtension (+- > 250V) et donc qui ne renvoie par l’énergie produite sur le réseau, ne fait qu’augmenter.
Toutes les parties concernées (gestionnaire du réseau et installateurs des PV) se renvoient les responsabilités en profitant de l’ignorance collective des citoyens.
Cette surtension vient évidemment de quelque part et précisément de la loi d’ohm.
U(V) = Z (ohm) x I (A)
U = Tension (Volt)
Z = Impédance (Ohm)
I = Courant (Ampère)
Que se passe-t-il concrètement sur le réseau électrique ?
L’impédance Z est fixe et non modifiable, car les canalisations électriques entre la « maison et la station/poste Haute Tension / Basse Tension » qui délivre l’énergie électrique ne changent pas.
En d’autres mots, les sections de cuivre et/ou d’aluminium utilisées dans les âmes des canalisations électriques de distribution n’augmentent pas ou ne diminuent pas sensiblement. Ce n’est pas réglable, cela reste fixe et imposé.
Les PV produisant de l’énergie en la réinjectant sur le réseau font circuler un courant « de la maison vers le poste de distribution ».
Le PV étant producteur que quand il y a du soleil, toutes les productions d’un quartier/rue sont injectées en même temps.
Le passage du courant produit par les panneaux photovoltaïques dans les différentes canalisations concernées et sur la/les canalisations communes, va générer une chute de tension sur les longueurs des canalisations concernées et parcourues par la somme des courants impliqués.
Cette chute tension générée (pouvant être une somme de chutes de tension différentes fonction des sections des canalisations) va venir s’ajouter à la « tension de base » du réseau électrique.
En d’autres mots, si le réseau sans courant (à vide) est à 230V et que la somme des courants issus des productions photovoltaïques génère une chute de tension totale de 20V, la tension du réseau peut monter à 250V, ce qui est +- le seuil de mise en sécurité.
Les seuils acceptables pour les réseaux à basse tension et les équipements sont de +-10%, soit 253V (Source: EN 50160 et EN 60038) et + 10 % / – 15 % pour des réseaux non interconnectés à des réseaux de transport.
Au-delà de ce seuil, les équipements peuvent subir de graves endommagements.
Une solution pour diminuer ces chutes de tension est de diminuer l’impédance Z, cela revient à augmenter les sections des canalisations électriques sur le réseau du gestionnaire de distribution en plus des sections en sortie des onduleurs.
On peut imaginer rappidement les modifications et les prix colossaux pour les citoyens que cela représente.
N’oublions pas de rappeler l’augmentation des ressources que cela va générer alors que nous devons les économiser.
Alors qu’il y a de bien meilleures solutions, on fonce tête baissée, piloté par de l’idéologie et des incitants financiers escrologiques. »




Non au photovoltaïque sur l’étang de Parnac

Ils veulent retirer aux habitants de Saint-Benoit du Sault le plaisir de la promenade dominicale.

Plus aucun recoin ne sera laissé libre à la nature ni aux citoyens.

Ils veulent réduire à néant la biodiversité, et la quiétude de nos paysages.

Demandez à la place un aménagement pour le tourisme vert, par exemple.

Saint-Benoît du sault, « un des plus beaux villages de France » manque cruellement d’infrastructures pour ses habitants et visiteurs !

Encore une occasion manquée se profile pour Saint-Benoît du Sault qui risque ainsi sombrer dans la désertification totale.
(réunion publique le samedi 15 19H salle polyvalente Labonne Willy Ronis, saint Benoit du Sault).
DITES VOTRE MÉCONTENTEMENT ICI c’est ici, du 28 mars 2023 9H au 28 avril 12H00
ddt-ep-parnacsbenoit@indre.gouv.fr
Tract à télécharger ici. et pétition à télécharger ici
PV-PARNAC-EP

petition-parnac-PV

Voici l’avis de la MRAE : clairement, encore une fois, c’est nous et la biodiversité qui vont trinquer !
avis-MRAE2022apcvl71-1




Pas de photovoltaïque sur les terres de Le Blanc

Voici notre lettre adressée à la mairie, ville majeure dans le PNR de la Brenne le 08 mars 2023 :
projetPV-leBlanc-PDVCN-ABS

Nous faisons suite à la publication dans la presse de l’article suivant :
https://www.lanouvellerepublique.fr/le-blanc/le-projet-photovoltaique-de-beauregard-a-mauvieres-avance




Pas de photovoltaïque à Belabre

projetPV-BELABRE
Vigoux, le 21 février 2023
Monsieur le Maire de Belâbre et ses conseillers municipaux ,
Monsieur le Préfet de l’Indre,

Vous connaissez la valeur patrimoniale de l’environnent naturel du Boischaut Sud et du Parc Naturel de la Brenne.
Comme vous le savez sûrement, notre association est sortie victorieuse d’un long combat contre l’implantation d’éoliennes industrielles à l’entrée du PNR. Voilà qui grave dans le marbre l‘écologie de notre région.

Les enquêtes publiques défavorables, l’arrêté de refus du projet par le préfet de l’Indre, suivies de nos deux victoires, l’une devant la Cour d’Appel Administrative de Bordeaux, l’autre devant le Conseil d’Etat contre le projet industriel «Les Portes de la Brenne», représentent en tout 7 années de travail et de combat qui démontre à l’évidence que l’éolien n’a pas sa place dans le Sud de l’Indre, et il en va de même pour le solaire photovoltaïque sur nos terres arables.

C’est avec consternation que nous avons appris ces derniers jours, l’émergence du projet industriel photovoltaïque de 15Ha à Belâbre. Pour votre gouverne, la commune ayant signé la charte du PNR, les terres concernées doivent être considérées comme «réservoir de biodiversité» plutôt que « friche  agricole».

Voilà qui va à rebours des temps et nous semble potentiellement entaché d’illégalité.

Comme vous le savez, en vertu de l’article 7 de la nouvelle loi sur le développement des ENRI,l’installation ne doit pas entraver la production agricole ni détruire la biodiversité.

Ce qui mérite l’abandon nécessaire du projet, et attise notre surveillance.
Ce projet va en effet bien détruire la biodiversité, aggraver le bilan carbone et pénaliser l’attractivité rurale de Belâbre. De tels travaux passeront effectivement par la destruction de ces sols nourriciers à vocation agricole. La quantité d’herbe perdue avec l’ombre et l’artificialisation du sol, est autant de nourriture perdue pour les citoyens. Faire paître des brebis sur de l’herbe qui ne voit pas le soleil relève de la faute.

Ces 15Ha peuvent faire vivre 15 familles de maraîchers en permaculture dans un cadre de vie d’une richesse que toute l’Europe nous envie.

Non, il faut réfléchir à l’avenir sereinement avec une visée durable et responsable, il en va de votre responsabilité d’élu. Notre rôle est de vous en avertir.

Les idées d’intégration de production photovoltaïque sans détruire notre environnement et au bénéfice de la collectivité sont légion: installation sur les toitures des bâtiments communaux industriels et particuliers, et pourquoi pas une «halle» photovoltaïque pour y accueillir des manifestations estivales, couvrir les bâtiments agricoles…

A ce titre nous nous élevons contre tous les projets qui concourent à l’artificialisation de terres « naturelles » dans la mesure où ils constituent un péril pour notre souveraineté alimentaire, et un péril pour la préservation de notre biodiversité comme notre patrimoine bâti, les véritables richesses de ce Bas Berry. De nombreuses régions nous envient pour cela, conscientes qu’il s’agit là de notre capital de demain.

La production photovoltaïque est incompatible avec les virulences du changement climatique. La biodiversité des espaces naturels et le nourrissement de l’être humain doivent rester prioritaires sur l’électricité des smartphones des citadins en été.

Ces terres de Bas Berry méritent un soin attentif, et un développement bocager intensif. Les prairies et les arbres captent le CO2 et nous donnent de l’oxygène, ils sont notre force de demain. Nous préférons l’oxygène à l’électricité intermittente.
Les énergies renouvelables intermittentes sont tout sauf décarbonées, écologiques et rentables, il s’agit là d’une tromperie véhiculée par les industriels.

Les panneaux photovoltaïques proviennent émettent globalement 40g CO2/Kwh produit, tandis que le nucléaire en émet dix fois moins (4g). Lorsque les panneaux ne produisent pas, d’octobre à mars, et la nuit, il faut les doubler avec du fossile (87% du temps), qui produit 350g de CO2 par Kwh.

L’effet d’aubaine actuel n’est que provisoire et sera caduque demain, au gré des lois qui vont changer… ou des aléas climatiques!

Comme vous le savez, le dernier bilan publié par RTE apporte les preuves incontestables que ce système industriel ne fonctionne pas.
Monsieur le Maire, nous vous demandons de bien vouloir prendre les mesures qui s’imposent pour aller de l’avant dans l’intérêt de toutes et tous. Nous vous saurons gré de participer au retrait de ce projet au plus vite.

Le bureau de l’association PDVCN-ABS




Pas de photovoltaïque sur les terres de Celon (36)

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DERNIÈRE NOUVELLE MISE A JOUR 21/12/2022 en forme de CADEAU DE NOEL

Les projets seraient en bonne voie d’être abandonnés (motif zone humide). CROISONS LES DOIGTS pour que nos informations soient les bonnes et que les promoteurs laissent nos terres tranquilles.

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Voici le courrier que nous avons adressé au Maire de la commune de Celon (puis à la préfecture), qui voit l’arrivée de deux projets photovoltaïques sur des terres agricoles et naturelles.
Nous alertons sur les périls que de tels projets vont faire subir à notre environnement direct. Si photovoltaïque il doit y avoir, les poser sur des zones déjà artificialisées, et qu’ils bénéficient directement aux administrés.

Téléchargeable ici ou consultable ci-dessous, cliquer sur les flèches pour passer à la page suivante.

projetPV-CELON




Photovoltaique à LaChatreL’anglin, le désastre

A peine l’enquête publique terminée, avant parution de l’avis du préfet, 7.5Ha de forêts ont été détruits à La Châtre L’Anglin.

Comme à Saint-Marcel, au Pêchereau… Partout, au mépris de l’écologie, du climat, de la biodiversité, des élus peu respectueux déciment notre capital naturel au nom de l’écologie.

Ces projets sont menés dans le silence, avec des objectifs et conditions de réalisation hasardeux. Truffés d’approximations, incertitudes et allégations mensongères, ils montrent leur totale illégitimité, et une volonté dogmatique de greenwashing « quoi qu’il en coûte ».

Lisez le rapport du commissaire enquêteur, c’est édifiant de voir comme notre territoire est maltraité, et comment le projet est incohérent, incomplet… Mais finalement, le projet  est déclaré « favorable ». https://www.indre.gouv.fr/content/download/28325/192590/file/rapport%20du%20commissaire%20enqu%C3%AAteur.pdf

Nous dénonçons celles et ceux qui détruisent la planète au prétexte de la sauver.

La biodiversité de notre bocage est notre avenir.

Quand des élus détruisent notre environnement au nom de l’écologie, nous estimons qu’il faut agir. Contactez vos élus et demandez-leur de restaurer l’environnement qu’ils ont détruit.

Ce projet fait partie de la CdC MOVA :

https://cdc-mova.fr/

Sur la commune de La ChâtreL’Anglin :

http://www.la-chatre-langlin.fr/

Indignez-vous aussi auprès des communes de Saint-Marcel et Le Pêchereau, (CdC Eguzon-Argenton Vallée de la Creuse) qui ont fait pareil sur leurs terres, en détruisant les espaces naturels communaux pour en faire des champs photovoltaïques au nom de l’écologie. Résultat : une production électrique intermittente qu’il faut pallier l’hiver, au charbon (ou nucléaire, mais ils n’en veulent pas).

Regardez les dégâts faits sur un champ photovoltaïque, complètement détruit lors du dernier épisode de grêle de juin 2022 : https://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne-franche-comte/saone-et-loire/grele-en-saone-et-loire-le-parc-photovoltaique-de-vitry-en-charollais-detruit-aux-trois-quarts-juste-avant-sa-mise-en-service-2571736.html

ILS DETRUISENT NOTRE ENVIRONNEMENT POUR RIEN