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La peur politique du nucléaire

La peur c’est l’instrument des (mauvais) politique, et malheureusement, les politiques qui se disent écologistes l’utilisent, comme les autres, tandis qu’ils vont en revendiquer le contraire.

Et c’est le pire du pire, un mensonge au carré.

La problématique urgente est le CO2 et la biodiversité, c’est comme ça, il faut l’accepter et se donner les moyens qui fonctionnent… et non entretenir une peur.

Les ENRI vont aboutir au même résultat réel que le risque potentiel/imaginaire/imaginé/ nucléaire,

rendez vous en bien compte. Mais cela sera pire, car le massacre (CO2, biodiversité, stérilisation des sols par les PV ou le béton des éoliennes) est perpétué au nom de l’écologie, c’est le comble de l’erreur ou du cynisme. Les accidents arrivent du fait de manque d’entretien, et cela les écolos le savent très bien, c’estr une question de moyens mis sur la table, et c’est pour cela qu’il est légitime de dire que l’écologie politique anti-nucléaire est une vaste escroquerie, qui utilise le mensonge et la peur à des fins politicienne orientées au bénéfice de certains. Et les bénéfices vont au fossile !

Et nous le répétons : il n’est pas question là de s’endormir sur le nucléaire des années 60 mais d’aller sur sa version 2.0 avec les progrès qui ont été faits et doivent être encore faits (uranium appauvri thorium fission…. nous laissons le soin aux spécialistes les détails)




Béton, éolien et nucléaire

Un résumé rapide concis et efficace de la réalité : l’industrie éolienne est intimement liée à celle du béton, et l’on va découvrir pourquoi.

Si vous faites attention, vous trouverez régulièrement, dans les enquêtes publiques, un avis favorable, signé… du terrassier qui va s’occuper du chantier (genre Véolia, GTM, ou autre, on ne parle pas là du petit artisan local qui vous rend service avec sa tractopelle).

Note : issu d’un post sur les réseaux sociaux :

« Selon Olivier Vidal, géologue et Directeur de Recherche au CNRS, les consommations exprimées en kg par Mégawatt-heure des 3 matières premières essentielles à la construction des éoliennes et des centrales nucléaires, en tenant compte de la durée de vie des unes et des autres, sont les suivantes :
– 45,3 fois plus de cuivre pour l’éolien que pour le nucléaire
– 19,8 fois plus d’acier pour l’éolien que pour le nucléaire
– 10,6 fois plus de béton, pour l’éolien que pour le nucléaire
Pourquoi le renouvelable n’est pas durable … et ne peut plus durer »

221016 - Béton éolien-nucléaire




CO2 et ENRI

Le CO2 par filière & le facteur de charge.

N’est pas ici pris en compte le manque à gagner en absorption de CO2 des surfaces stérilisées par filière.

Nucléaire = 4g/KWH; facteur de charge 80% (pilotable)

Nucléaire : 4 g de CO2 par kWh

Eolien : 14 g/KWh; facteur de charge 22% (non pilotable imprévisible irrégulier). 78% du temps, nécessitent du pilotable (ex: charbon à 350g/KWh).

Quel est le vrai bilan carbone des éoliennes ?

Solaire : entre 25 40g/KWh; facteur de charge 13% (non pilotable assez prévisible régulier) 87% du temps, nécessitent du pilotable (ex: charbon à 350g/KWh).

Le bilan CO2 des panneaux photovoltaïques s’est considérablement amélioré

 

Charbon  >350g/KWH

détail du calcul du bilan carbone des combustibles :

 




Le nucléaire, on attend quoi ?

Brisons le tabou : le nucléaire uranium (pour l’instant) permet à des entreprises garanties par l’Etat, de produire du courant sans CO2 massivement, avec une quantité de déchets très faibles.

Nous ne sommes pas des pro-nucléaires acharnés, car nous savons le retard pris dans la R&D sur le retraitement des déchets ainsi que sur les projets de fusion. Mais nous devons faire face à l’urgence de l’excès de CO2 dans l’atmosphère, ce qui est le sujet NUMERO UN. Donc pas de sortie du nucléaire uranium tant qu’on n’aura pas mieux.

Si nous sommes d’accord de la dangerosité potentielle ou avérée des radiations nucléaires, force est de constater qu’il faut désormais décarboner à tout prix, et que nous devons nous appuyer sur des énergies qui ne portent pas atteinte à la biodiversité et émettent le moins possible de CO2. La forme nucléaire actuelle est à faire évoluer, les pistes ne manquent pas.




Le nucléaire revient en force chez les écologistes

C’est avec une certaine larme à l’oeil que l’on vous relaie cette information : Greta Thunberg vient de comprendre le problème des émissions de CO2 du modèle allemand qu’ils veulent nous imposer, et comment le résoudre :

Allez vite voir ici : https://www.lepoint.fr/environnement/allemagne-greta-thunberg-prefere-le-nucleaire-au-charbon-12-10-2022-2493475_1927.php

Nous souhaitons ici la féliciter, elle et son entourage, pour cette clairvoyance et cette indépendance d’esprit. BRAVO GRETA.

Nous attendons maintenant la même démarche de réflexion dans le monde des écologistes français (EELV/LFI/et ceux qu’ils influencent, ainsi que les associations tierces LPO/FNE/etc). Le chemin sera long. D’ici là, il faut tenir et NE RIEN LÂCHER.