Saint-Genou : dernière minute

Merci de contribuer avant jeudi 25 avril à midi ici :
https://www.registre-dematerialise.fr/5235/contribuez

Nous sommes les NA’VI du 36
Ne Lâchez rien, jamais !




Carrière Sacièrges Saint-Martin PNR Brenne

Quand nous vous disons que le PNR de le Brenne est mort (on se demande à quoi sert la révision de sa charte, à quoi ont servi les consultations publiques du PNR pour le paysage de demain)…

50Ha de terres agricole du PNR vont partir en fumée (c’est le cas de le dire, elles partiront en gasoil des camions sur les routes).

En ce moment, les terres agricoles du Boischaut-sud & du PNR de la Brenne sont accaparées par l’industrie du vent, plastifiées par les panneaux solaires chinois, ou bien là, carrément raclées… Réagissez, ils vous affament !

Nous rappelons qu’il suffit d’un ou deux hectares de terre agricole pour faire vivre un maraîcher et sa famille… et vous nourrir.

Dites non à ce projet fou par mail ici pref-be-ep-carriere-terreal@indre.gouv.fr jusque au 21 février 12H.

infos ici https://www.indre.gouv.fr/Actions-de-l-Etat/Environnement/I.C.P.E/Dossier-Autorisation-ICPE/ENQUETE-PUBLIQUE-Carriere-TERREAL-SACIERGES-SAINT-MARTIN-et-ROUSSINES/Arrete-et-avis-d-enquete-publique




Enterrement du PNR de la Brenne à Luant

Le couperet est tombé juste après Noel et la table ronde où le préfet était pourtant présent… Il a entendu notre bruit mais pas écouté nos mots, visiblement… Triste jour pour la biodiversité et le PNR de la Brenne. Le bulldozer de l’éolien industriel est en passe de détruite totalement ce parc à vocation ornithologique. Un tel écocide devra être jugé à la hauteur des enjeux. Nous ne lâcherons rien.

2023-12-26-AP AUTO LUANT

Pour info :




Non aux éoliennes à Martizay

La commission d’enquête a donné un avis défavorable au projet d’Azay Le Ferron Martizay pour les mêmes raisons que nous clâmons dans notre dossier « Les Sables », qui, lui, a vu la justice nous imposer des éoliennes destructrices de biodiversité.
Rapport et conclusionsMartizay
A Azay Le Ferron : non aux éoliennes, ni ici ni ailleurs.




Rendez-vous le 18 décembre à Déols

Le collectif CIER organise une soirée débat-table ronde, avec l’excellent Fabien Bouglé, qui durant 30 minutes nous parlera de la situation des ENRI au national. Ensuite interviendront le préfet et le président du conseil départemental de l’Indre; prendront aussi la parole le président du CIER Pierre Dumont et Jean Panel. Prendra aussi la parole, Jean-Christian Fraiscinet des Bodin’s, qui témoignera de son expérience.

Pascal Vrignat, le porte parole du collectif, assurera l’animation.
UN EVENEMENT à ne manquer sous aucun prétexte.

MERCI de nous indiquer votre présence ici :

Participation Mobilisations
Prénom / Nom
Prénom / Nom
Prénom
Nom
Je viendrai à Déols le 18 décembre

Voici l’affiche :




ADEME : mise en demeure par la FED

Mise en demeure de l’ Agence de Maitrise de l’Energie
de fournir des justificatifs concernant les économies de CO2 des parcs éoliens

Une lettre avec AR a été adressée le 18 octobre au Président de
l’ADEME pour lui demander de fournir les études scientifiques qui ont servi à étayer les chiffres que cette Agence gouvernementale a publié concernant les économies de CO2 attribuées aux éoliennes.
Ces données servent de base au gouvernement pour justifier le programme d’accélération des Energies Renouvelables et sont relayées massivement par les médias depuis des années. Elles constituent un des arguments principaux des industriels du secteur pour l’obtention des permis de construire des parcs éoliens terrestres et offshores en prétendant lutter contre le réchauffement climatique

Monsieur SYLVAIN WASERMAN
Président ADEME
20 avenue du Grésillé BP 90406 49004 Angers Cedex 01

Jean-Louis Butré
Président Fédération Environnement Durable
3 rue des Eaux 75016 Paris

Paris, le 18 octobre 2023 Lettre recommandée avec AR

Objet : Demande d’actualisation du taux d’émission CO² des éoliennes terrestres en France présenté sur la base publique gérée par l’ADEME – « Base Empreinte® ».

Monsieur le Président,

La Fédération Environnement Durable – FED- est une association d’intérêt public, agréée nationalement pour la défense de l’environnement.

A ce titre, elle apporte son soutien aux associations locales de défense de l’environnement qui sont confrontées notamment au développement des éoliennes terrestres sur le territoire national.

Ces associations locales se donnent pour mission d’analyser les dossiers soumis à enquête publique dans le développement de nouveaux projets d’implantation d’éoliennes qui relèvent de la règlementation de l’environnement au titre des « installations classées pour la protection de l’environnement ».

De façon pertinente, votre Agence promeut la nécessité de mettre en place une comptabilité carbone pour tout nouveau projet industriel et en particulier les sites d’éoliennes terrestres.

Sur le terrain, nos associations locales doivent donc développer une méthodologie pour vérifier les bilans CO² mis en avant par les promoteurs de ces installations éoliennes terrestres et éventuellement dénoncer les allégations mensongères au titre du Code de l’Environnement[1].

Votre Agence administre et publie une base de données publiques et génériques de facteurs d’émission et de jeux de données d’inventaire nécessaires à la réalisation de l’exercice de comptabilité carbone et de calculs d’empreinte environnementale pour ces projets industriels (« La Base Empreinte® »).

Cette base présente un taux d’émission des éoliennes terrestres pour le cas français de 14,1 g CO2 eq / kWh pour une durée de vie moyenne de 20 ans[2].

Pour l’élaboration de ce taux auquel se référent tous les promoteurs éoliens terrestres, nous avons noté les points suivants :

Selon votre présentation, il semblerait que cette analyse ait été sous-traitée à un prestataire extérieur et non réalisée par l’ADEME directement,
L’analyse du cycle de vie a été réalisée suivant la situation du parc éolien en 2017,
La phase de démantèlement en fin vie des ouvrages n’a pas été retenue dans l’analyse,
Le facteur d’émission ne prend pas en compte non plus l’intermittence induite.

S’agissant de programmes de déploiements qui doivent être accélérés de façon significative, il nous paraît donc indispensable que nos associations puissent disposer des informations les plus actualisées possibles. Dans ces conditions et aux vu des remarques soulevées ci-avant, nous avons l’honneur de vous adresser les questions suivantes :

Si cette analyse a été sous-traitée à un prestataire, conformément à l’article L 311-1 et suivants du Code des relations entre le Public et l’Administration, nous souhaitons avoir communication de la lettre de mission que vous avez formulée auprès de ce prestataire et copie de l’étude intégrale réalisée par ce prestataire.

L’analyse date de 2017. A cette époque, la hauteur moyenne des engins hors sol n’était que de 135 mètres, pales comprises. A ce jour, la hauteur des installations nouvelles est passée à 240 mètres soit une augmentation de près de 75%. Comment comptez-vous adapter le calcul du taux d’émission aux nouvelles configurations des nouveaux matériels utilisés ?

En 2017, l’industrie éolienne était alors dominée par des acteurs européens dont on peut supposer qu’ils faisaient preuve d’une certaine transparence pour leur bilan carbone. Disposez-vous d’informations équivalentes de la part des industriels chinois qui prennent maintenant une part prépondérante dans la production des matériels ?

Tenez-vous compte les émissions CO² provoquées par les transports de ces matériels pondéreux depuis la Chine ?

La loi impose aux promoteurs de nouvelles contraintes de démantèlement depuis 2020, notamment l’excavation complète des fondations. Compte de ces nouvelles contraintes règlementaires, considérez-vous toujours justifié de négliger le CO² émis lors des opérations des démantèlement et de recyclage ?

Au-delà de ces points techniques évoqués ci-dessus que votre Agence devrait être en mesure de corriger facilement, nous souhaitons revenir sur le sujet de l’intermittence qui nous paraît fondamental.

Vous indiquez dans la Base Empreinte® : « Les facteurs d’émission présentés ci-dessous ne tiennent pas compte de l’intermittence induite ». Or ce taux d’émission de CO² indiqué par votre Agence pour les éoliennes terrestres sert de référence officielle aux promoteurs éoliens dans leur projet pour faire état du CO² évité.

Une éolienne terrestre est un moyen de production d’électricité, aléatoire, non pilotable mais prioritaire sur le réseau électrique. De sorte que les autres moyens de production qui sont eux pilotables doivent constamment adapter leur production en fonction de la puissance éolienne effective en jeu, pour équilibrer le réseau.

En 2017, quand ce moyen de production dans le mix électrique était marginal, il pouvait être concevable de ne pas tenir compte de son intermittence.

Aujourd’hui ce moyen de production a vocation à devenir très significatif dans le mix électrique français si on en croit les décisions officielles. Cette augmentation de part dans le mix va se produire sans pour autant que les caractéristiques de leur production (aléatoire, non pilotable et prioritaire) aient été corrigées.

Il nous paraît donc indispensable que l’Agence propose une méthodologie officielle pour calculer pour un projet éolien la quantité de CO² évité qui soit adaptée au cas français. En effet, l’analyse du CO² évité sera totalement différente si on considère, que l’électricité suppléante de l’intermittence est l’électricité nucléaire ou l’électricité issue de turbines à gaz.

Quel serait le moyen de substitution adapté au cas français qui serait utilisé « officiellement » pour équilibrer le réseau face à une éolienne en panne de production afin de calculer le CO² évité par une éolienne ?

Pensez-vous que votre Agence soit en mesure de proposer une méthodologie de calcul du CO² évité adaptée au cas des éoliennes terrestres ?

Dans un souci de parfaite transparence, nous nous permettons de vous indiquer que nous rendrons publique auprès des associations locales de défense de l’environnement tant la présente lettre que la réponse (ou l’absence de réponse) de votre Agence.

Nous vous prions d’agréer Monsieur le Président, l’expression de notre haute considération.

Jean-Louis Butré
Président




Crucial: on ne lâche rien et participe

  • 1. Participez à la consultation publique du gouvernement qui veut donner le statut d’Intérêt Public Majeur aux usines éoliennes et photovoltaïques, leur permettant de déroger à toutes les règles élémentaires de protection de l’environnement et des personnes: cliquez ci-dessous et commentez avant le 24 nov 2023 ↴
    https://www.consultations-publiques.developpement-durable.gouv.fr/projets-de-decrets-relatifs-aux-conditions-a2933.html

    Au 5 novembre, il n’y a que 75 contributions, dont les nôtres, vous avez compris que le silence qui entoure cette mesure est hallucinant, quand 68 millions de personnes seront impactées!
    Cela vous concerne directement, vous et vos enfants, car cette mesure va augmenter durablement les émissions de CO2, en plus de dévaster le pays.
    FAITES SUIVRE A TOUTES VOS CONNAISSANCES.

  • 2. Un interview à écouter: notre ami Fabien Bouglé explique en quelques mots ce qu’il se passe. Vous le retrouverez en chair et en os, à Déols avec notre CIER (Collectif Indre Energies Responsables) le 18 décembre 18H30 ↴




Un flot de machines arrive !

Des enquêtes publiques en veux-tu en voilà ! C’est la Grande Braderie de l’Indre.

En plein PNR, sur les surfaces naturelles, agricoles ou devant vos fenêtres, tout y passe !

Commençons par notre PNR et notre Boischaut sud :

1. Martizay, en plein PNR, pour être sûr de ne manquer aucune destruction de volatiles (moins il y aura de volatiles, plus ils pourront installer de machines) :
https://www.registre-dematerialise.fr/4787/contribuez
Réunion ce jour lundi 2 octobre à 18h en salle Anny Gould (à côté de l’office du tourisme) à Graçay

2. Saint Benoit du Sault : des panneaux solaires pour remplacer champs et bouchures (faites vite, fin = 5 oct)
email ici

Les suivantes ne sont pas dans notre PNR/Boischaut Sud, mais vous concernent quand même :

3. Saint-Lactencien / Villedieu sur Indre (EP clôturée)
Sur nos terres agricoles fertiles, les insectes et chiroptères n’auront plus aucune chance dans le secteur
https://www.registre-dematerialise.fr/4795/contribuez

4. Graçay, le nouveau projet bien-nommé « MONPLAISIR » (TRES DROLE), préparez vos crayons, cela démarre dans quelques jours (11 octobre) (EP clôturée)
https://www.registre-dematerialise.fr/4856/

5. Le Tranger : vous l’aurez compris, quand il n’y en n’a plus, il y en a encore :
L’enquête ouvre le 24 octobre
https://www.registre-dematerialise.fr/4908/

Toutes les installations en cours sont listées ici :

Celles qui sont classées ICPE :
https://www.registre-dematerialise.fr/registres-ouvert

Celles qui ne sont pas Classées Protection de l’environnement (les centrales photovoltaïques)
https://www.indre.gouv.fr/Publications/Enquetes-Publiques-autre-que-ICPE




Les Sables : autorisation donnée

Le préfet a donc donné son feu vert au chantier avec les prescriptions ci-dessous.

La Préfecture a effectivement été contrainte par la justice de publier un arrêté , mais elle est bien claire sur la totale inadaptation de votre projet sur nos terres.

2023-08-08 AP Prescriptions

NON AUX EOLIENNES NI A BAZAIGES NI A VIGOUX NI AILLEURS

MERCI POUR VOTRE SOUTIEN




Energies Partagées Investissement : nos conseils

Certains d’entre vous connaissent peut-être l’entreprise « Energie partagée investissement », partenaires de notre région Centre-Val de Loire, dans ses opérations de financements d’installations d’usines de production électrique PV/éolien.

Saluons en premier sa volonté honorable de préserver les espaces naturels, et diminuer les consommations énergétiques des citoyens. Mais dans sa démarche globale, le paradoxe est bien caché.

Car concernant la production d’électricité « énergie partagée »… c’est une tout autre histoire.

La région Centre Val de Loire veut-elle privatiser l’électricité et concurrencer l’entreprise collective qu’est EDF ? Veut-elle réserver l’usage de l’électricité au citoyen le plus aisé ? Veut-elle détruire la planète encore plus vite en installant des usines intermittentes inefficaces ?

En effet, il faut beaucoup de charbon pour fabriquer les panneaux solaires chinois, les rotors et les pales des machines, beaucoup de fossile pour extraire le ciment des carrières pour les socles des éoliennes citoyennes. il faut déforester beaucoup d’Amazonie ou Indonésie pour en fabriquer les pales,et de grosses usines pétrochimiques pour les badigeonner d’epoxy….

Il faut aussi bien du gaz ou du charbon, pour les journées sans vent (anticyclone) et sans soleil la nuit, l’hiver.. 80% du temps ! Voilà de quoi augmenter encore la débâcle climatique !

Dans l’installation d’usines PV/éolien « partagées », il n’y a rien de « citoyen », ni de « partage », mais de la concurrence et du dol.


Mesdames et messieurs de la Région Centre Val de Loire, il est temps d’ouvrir les yeux de de cesser ce partenariat toxique.