1

Sécheresse !

Décidément, vous allez nous dire que nous « chargeons très fort » la mule :  malheureusement, c’est la science qui le dit, là encore.

La technologie de brassage du vent (effet ventilateur !) aboutit logiquement à un assèchement local. Logique ! Il n’y a pas besoin de faire d’études pour comprendre qu’un ventilateur assèche, mais comme il faut toujours tout prouver… c’est fait. Évidemment, l’étude n’est pas faite en France, on sait bien pourquoi.

L'énergie éolienne tue le climat les parcs éoliens amplifient le changement climatique




Béton, éolien et nucléaire

Un résumé rapide concis et efficace de la réalité : l’industrie éolienne est intimement liée à celle du béton, et l’on va découvrir pourquoi.

Si vous faites attention, vous trouverez régulièrement, dans les enquêtes publiques, un avis favorable, signé… du terrassier qui va s’occuper du chantier (genre Véolia, GTM, ou autre, on ne parle pas là du petit artisan local qui vous rend service avec sa tractopelle).

Note : issu d’un post sur les réseaux sociaux :

« Selon Olivier Vidal, géologue et Directeur de Recherche au CNRS, les consommations exprimées en kg par Mégawatt-heure des 3 matières premières essentielles à la construction des éoliennes et des centrales nucléaires, en tenant compte de la durée de vie des unes et des autres, sont les suivantes :
– 45,3 fois plus de cuivre pour l’éolien que pour le nucléaire
– 19,8 fois plus d’acier pour l’éolien que pour le nucléaire
– 10,6 fois plus de béton, pour l’éolien que pour le nucléaire
Pourquoi le renouvelable n’est pas durable … et ne peut plus durer »

221016 - Béton éolien-nucléaire




CO2 et ENRI

Le CO2 par filière & le facteur de charge.

N’est pas ici pris en compte le manque à gagner en absorption de CO2 des surfaces stérilisées par filière.

Nucléaire = 4g/KWH; facteur de charge 80% (pilotable)

Nucléaire : 4 g de CO2 par kWh

Eolien : 14 g/KWh; facteur de charge 22% (non pilotable imprévisible irrégulier). 78% du temps, nécessitent du pilotable (ex: charbon à 350g/KWh).

Quel est le vrai bilan carbone des éoliennes ?

Solaire : entre 25 40g/KWh; facteur de charge 13% (non pilotable assez prévisible régulier) 87% du temps, nécessitent du pilotable (ex: charbon à 350g/KWh).

Le bilan CO2 des panneaux photovoltaïques s’est considérablement amélioré

 

Charbon  >350g/KWH

détail du calcul du bilan carbone des combustibles :

 




Épuisement des ressources

Sujet du Silicium  traité par les grenoblois de Pièces et Mains D’oeuvre   https://www.piecesetmaindoeuvre.com/IMG/pdf/le_cycle_du_silicium.pdf

« Prenons le cas des éoliennes : la croissance de ce marché va exiger, d’ici 2050, « 3200 millions de tonnes d’acier, 310 millions de tonnes d’aluminium et 40 millions de tonnes de cuivre », car les éoliennes engloutissent davantage de matière premières que les technologies antérieures. « A capacité [de production électrique] équivalente, les infrastructures […] éoliennes nécessitent jusqu’à quinze fois davantage de béton, quatre vingt-dix fois plus d’aluminium et cinquante fois plus de fer, de cuivre et de verre » que les installations utilisant des combustibles traditionnels, indique M Vidal. Selon la Banque mondiale, qui a conduit sa propre étude en 2017, cela vaut également pour le solaire et pour l’hydrogène, dont « la composition […] nécessite en fait significativement plus de ressources que les systèmes d’alimentation en énergie traditionnels ». La conclusion d’ensemble est aberrante : puisque la consommation mondiale de métaux croît à un rythme de 3 à 5 % par an, « pour satisfaire les besoins mondiaux d’ici 2050, nous devrons extraire du sous-sol plus de métaux que l’humanité n’en a extrait depuis son origine ». Que le lecteur nous pardonne d’insister : nous allons consommer davantage de minerais durant la prochaine génération qu’au cours des 70 000 dernières années, c’est-à-dire des deux mille cinq cent générations qui nous ont précédés. (p213-214 in Guillaume Pitron – La guerre des métaux rares, La face cachée de la transition énergétique et numérique – LLL 2018 )

Le sujet de l’épuisement des ressources est implacablement traité par Aurore Stéphant, voir ici https://www.youtube.com/watch?v=7bh3Z78e68Q




Des chiffres biaisés pour enfumer les citoyens

Méfiez-vous des chiffres annoncés par les opérateurs.
Si parfois leurs chiffres sont vrais, c’est pour cacher la vérité.
Exemple : partout vous ne voyez que des chiffres mirobolants de puissance installée (Kw)… c’est pour cacher la production réelle (KWh) qui est très faible.
Pourquoi ?
Le facteur de charge.
C’est le pourcentage de production par rapport à la puissance installée. En France, nous sommes autour des 20%. Ce qui signifie que une machine n’est efficace que sur 1/5ème de sa durée de vie, soit 4 ans sur 20.
https://fr.statista.com/statistiques/562781/electrique-eolien-facteur-de-charge-moyen-selon-region-france/
Autre source (nationale pour 2017 par exemple) https://bilan-electrique-2017.rte-france.com/production/23-eolien/232-la-production-eolienne/la-production-eolienne-en-detail/le-facteur-de-charge-eolien-mensuel/#

Car il n’y a pas de vent suffisant en permancence, obligeant à compléter cette intermittence délétère, par du charbon, du gaz et bien entendu, du nucléaire.

2. La destination de l’électricité produite

Les opérateurs annoncent : « une production pour 50000 foyers »… mais sans ECS ni chauffage, les deux domaines les plus énergivores et source de CO2.

L’éolien industriel n’a pas vocation à fournir du courant pour les besoins essentiels de l’être humain. Mais alors pourquoi ces monstres sont-ils faits ? L’éclairage, les smartphones… voilà un bien maigre intérêt à cette énergie dangereuse.

Faut-il déforester encore plus, stériliser des terres, détruire la faune, la flore et les insectes,  pour faire fonctionner lampes et téléphones portables ?

Il est urgent de s’interroger sur notre modèle de consommation / production pour revenir à une empreinte soutenable de l’être humain sur sa planète !




Pénurie pour l’éolien, mais profusion de sable pour le photovoltaïque !

PENURIE DE SABLE POUR LES EOLIENNES INDUSTRIELLES

Les éoliennes industrielles sont composées en majorité de sable, dont les ressources sont en dramatique extinction.

La situation en est telle que des opérateurs commencent à racler et dévaster les fond marins !

Le sable du désert, quant à lui, permet de produire des panneaux solaires photovoltaiques, mais pas de béton ! (problème de forme du grain)

DU SABLE A PROFUSION POUR LE PHOTOVOLTAIQUE

Le premier article explique le projet Solar Breeder

Le second avec l’oeil des médias français : le soleil, le nouvel or noir du désert.

Il y a un MAIS :  Nous ne voulons pas des éoliennes industrielles. Nos voisins des déserts africains ne voudront sûrement pas non plus des usines envahissantes ou des convois de sable. Une chose est sûre :

L’ENERGIE LA MOINS CHERE EST CELLE QUE L’ON NE CONSOMME PAS

Nous vous engageons à faire votre propre transition énergétique en passant à l‘auto-consommation.