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Chiroptères en Brenne

Merci au groupe chiroptères Centre Val de Loire pour leur contribution contre le projet de Luant.
Cela doit etre pris en compte pour toutes les ICPE éoliennes partout autour du PNR et zones humides.
Zone humide = moustiques = chiroptères = ZERO EOLIENNE INDUSTRIELLE
Nous demandons avec une extrème force l’application d’un moratoire éolien partout sur le territoire autour des zones humides et dans les couloirs migratoires.
Chiroptres-luant-GCCVL_EUP




La vitesse en bout de pale

Une notion difficile à comprendre et qui explique la mortalité des volatiles, c’est la vitesse de rotation des pales en leur extrémité.
CETTE VITESSE EST (grossièrement) 5 à 6 fois plus importante que celle des oiseaux migrateurs. Les volatiles ne peuvent anticiper la collision qui entraîne directement leur mort.
Extrait d’un commentaire suite au massacre d’un Gypaete barbu aux pays-bas :

Pour calculer la vitesse maximale au bout de la pale, nous devons calculer la distance parcourue sur un tour. Cela correspond à calculer la circonférence maximale (Circ).

Calcul de la circonférence, calcul de la vitesse maximale d’une pale d’éolienne

Formule:

Circ = 2 * Π * Rayon

Nous connaissons le rayon, il s’agit de la longueur de la pale: 50 mètres.

Circ = 2 * Π * 50

Circ = 2 * 3.1416 * 50

Circ = 314.2 mètres

Le bout de la pale a effectué 314.2 mètres un un tour

Note: Pour les puristes, on peut aussi rajouter le diamètre du moyeu.

Calcul de la vitesse

Lorsqu’on parle de vitesse, c’est une distance parcourue en un certain temps, nous connaissons ces deux informations.

Rappel: L’éolienne à parcouru 314.2 mètres et nous connaissons la vitesse de rotation (14 tr/minutes).

Vitesse: 314.2 mètres * 14 tours = 4398.8 mètres/minute.

En une heure, la pale à parcouru:

Vitesse: 314.2 mètres * 14 tours * 60 = 263928 mètres/heure.

Convertir en Km/heure:

263928 mètres/heure = 263.9 Km/h.




Ecologie ?

Post Facebouc de M. Philippe Oberlé
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Une illustration de la capacité d’automystification de l’être humain avec un retour d’expérience personnelle. En 2015, j’ai eu l’opportunité de participer à un voyage de presse dans le port de Bremerhaven dans le nord de l’Allemagne, un site industriel pionnier de l’éolien offshore en Europe, avec l’objectif de réaliser un reportage pour un site d’actualités sur les énergies dites « propres ».
Durant ce bref séjour destiné à promouvoir l’éolien offshore auprès de journalistes français, j’ai découvert plusieurs choses :
– Les navires qui installent des éoliennes en mer ont à l’origine été développés par l’industrie pétrolière et gazière pour le déploiement de plateformes offshore. D’énormes piliers amovibles s’abaissent pour s’appuyer sur le fond marin et soulever le navire hors de l’eau, permettant à la grue de manipuler des pièces avec précision sans être perturbée par la houle. Ces bateaux ne carburent évidemment pas à la force du vent.
– Les pales des éoliennes sont composées en majorité de résine époxy ou de polyesters, de fibres de verre ou de carbone. Les mâts sont en aciers et la base en béton. Un certain nombre de ces matériaux sont issus de la pétrochimie, d’autres comme l’acier ou le ciment dépendent de combustibles fossiles pour leur production.
– La maintenance des éoliennes offshore nécessite l’intervention de techniciens déposés par hélicoptère.
– Les éoliennes offshore sont des infrastructures industrielles aux dimensions gigantesques, ce qui veut dire que leur consommation de matières premières est proprement délirante. Les plus grandes machines se rapprochent peu à peu de la taille de la tour Eiffel.
Ces signaux contradictoires auraient dû m’alerter sur le concept de « transition énergétique/écologique », mais face à la puissance qui se dégage du gigantisme industriel, il est bien plus facile de céder à une euphorie collective irrationnelle que de raisonner froidement.
Comment une transition énergétique pouvait-elle avoir lieu alors même que le déploiement et la maintenance d’une énergie « verte » parmi les plus prometteuses était totalement dépendant des industries fossiles ? Comment ce gigantisme pouvait-il être écologiquement soutenable ?
À l’époque, j’ai préféré continuer à adhérer au mythe de la transition plutôt que de regarder la réalité en face. L’ensemble du système urbain, infrastructurel et industriel moderne, nécessite pour son développement et son maintien d’énormes quantités d’énergies et de matières. Ce système s’est développé avec les énergies fossiles et s’effondrera selon toute probabilité avec leur épuisement.
Ce n’est qu’en 2019, après une série d’électrochocs suivis d’une remise en question, que j’ai fini par accepter l’insoutenabilité structurelle de la civilisation industrielle. Croire à des utopies permet d’échapper à la dure réalité, mais le retour de bâton n’en sera que plus douloureux.
Pour soutenir mon travail d’investigation et de décryptage : https://lnkd.in/e3SEGdGF




Pollution lumineuse

A lire et faire connaître aux « écologistes » de partis :

https://www.ouest-france.fr/environnement/pollution/entretien-la-pollution-lumineuse-est-aussi-dangereuse-que-les-pesticides-pour-la-biodiversite-b488a24e-9d9f-11ed-8527-233d34cc2458




Sécheresse !

Décidément, vous allez nous dire que nous « chargeons très fort » la mule :  malheureusement, c’est la science qui le dit, là encore.

La technologie de brassage du vent (effet ventilateur !) aboutit logiquement à un assèchement local. Logique ! Il n’y a pas besoin de faire d’études pour comprendre qu’un ventilateur assèche, mais comme il faut toujours tout prouver… c’est fait. Évidemment, l’étude n’est pas faite en France, on sait bien pourquoi.

L'énergie éolienne tue le climat les parcs éoliens amplifient le changement climatique




Chanson à déguster




Destruction des espèces protégées : ambigüité FNE/LPO

Tandis que nos associations dénoncent ces massacres depuis toujours, et que les opérateurs, ou commissaires enquêteurs nous rient au nez… Voici la triste réalité de cette industrie destructrice, nous ne le répéterons jamais assez.

Vous noterez l’ambivalence pernicieuses d’associations comme la FNE, ou la LPO qui sont pro-éoliennes, elles sont juges et parties dans leur rôle consultatif auprès des instances gouvernementales (elles font bureau d’études ou partie des commissions environnementales aux projets éoliens/PV, selon…). Leurs financements par les promoteurs leur permet une audience et des moyens tels qu’ils ferment les yeux sur la destruction qu’ils laisse se perpétrer partout sur le territoire (sauf près de leur siège social) tout en clamant le contraire.

Ces associations sont en plein conflit d’intérêt, et cela reste ainsi.

A lire, donc :

https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/haute-garonne/toulouse/occitanie/aveyron-plainte-deposee-contre-parc-eolien-apres-mort-especes-protegees-1788531.html




Massacres de chiroptères. Eolien = écocide.

Ce ne sont pas nos associations militantes qui le disent en 2022, mais les préfectures : Indre, Picardie : partout, des massacres de chiroptères. RIEN sur le massacre des insectes, ils n’existent pas, pourtant ce sont les premières victimes !

Des ces zones agricoles fertiles et arrosées de pesticides,  certains chiroptères arrivent encore à survivre. Mais malheur à elles : elles se font terminer par les éoliennes…

Exemple de Saint Georges sur Arnon (36), haut lieu de l’éolien en France, avec un maire qui est un véritable promoteur de l’industrie du vent. L’ironie est énorme !

IL EST URGENT DE SORTIR DE L’EOLIEN.

MAIS QUE FONT LES « ECOLOGISTES »?

Visualisez ci-dessous l’arrêté de janvier 2022, ou bien téléchargez-le depuis le site de la préfecture.

bridage-saint-georges-arnon




Massacre chiroptères en Picardie

ALERTE MAXIMUM
TOUTES LES ASSOCIATIONS et PARTIS « ENVIRONNEMENTALISTES » DOIVENT DEMANDER L’ARRÊT ET LE DEMANTELEMENT DE TOUTES LES INSTALLATIONS SUR LE TERRE ET EN MER

 

 




Biodiversité mise en danger par l’éolien

Si besoin était encore, voici un nouveau rapport accablant l’industrie du vent, responsable d’au moins un demi-millions d’oiseaux, rien qu’aux USA…

RAPPEL : si l’éolien industriel est un fléau pour biodiversité, nous sommes favorables au photovoltaïque sur les bâtiments, bien qu’ils mettent le bazar dans le réseau électrique et rendent le courant très cher à cause de son intermittence. Si l’intermittence est palliée par le nucléaire, le bilan CO2 est moins pire que lorsque la compensation se fait au gaz.

N’oubliez pas de signer le manifeste GARDER LE VIVANT.

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